Le théâtre d'ombres grec a un nouveau karagiozi, un personnage haineux et gesticulant, un certain Michaloliakos, qui par ses discours populistes, anti-européens et racistes, est tout de même parvenu a recueillir 7 pour cent du vote grec et 21 sièges au Parlement pour son mouvement Aube dorée
Lors de la conférence de presse qui a suivi les élections, les sbires de ce dangereux guignol ont contraint les journalistes de se lever "en signe de respect" pour leur Leader, sous peine d'exclusion immediate. Un acte aux relents fascistes: dans de tels regimes, on fait d'abord disparaitre la liberte de la presse...et on impose salut au Fuhrer.
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